Ma découverte de la pêche à la carpe

Durant mes loisirs souvent les week-ends, je pratique la pêche avec mon copain. On en fait de partout, en rivière, par exemple à Montfort-le-Gesnois, ou à Spay (sur un étang). Je m’y suis mise il y a deux, en suivant mon copain, qui lui pêche depuis tout petit.

Ce qui me plaît dans la pêche c’est quand on entend le petit bruit qui indique qu’il y a un poisson qui mord la ligne. Je réussis à pêcher des carpes, et une fois que je les ai attrapées, on les pèse et on les prend en photo. Après on les relâche dans l’eau. C’est juste un sport. Contrairement à ce que l’on dit c’est très physique, par exemple quand le poisson ne veut pas se laisser faire. Il faut alors attendre qu’il se fatigue et ça peut durer au moins vingt bonnes minutes.

Mon plus beau souvenir c’était en avril 2022, une nuit où l’on a pêché 25 poissons au total, à la rivière montgesnoise ! Je n’ai jamais mangé du poisson que j’ai pêché, et par ailleurs j’aime bien le poisson comme plat en cuisine : surtout la truite, que mon père pêche. Lui il n’aime pas la pêche à la carpe, car c’est plus gros et au niveau budget c’est plus cher aussi.

Une anecdote qui m’a surpris sur le rôle des pêcheurs : parfois on prend des carpes qui sont blessées parce qu’elles ont été mordues par d’autres poissons et alors on les soigne. On leur applique un produit sur la plaie, une sorte de crème, avant de les relâcher à l’eau. Je ne connaissais pas du tout cette pratique qui donne un autre regard sur les pêcheurs et leur rôle.

(Mazarine, CAP1a)